Tu entends parler de 15/21 chez ton fournisseur de matériel et tu te demandes ce que ça signifie ? Cette notation mystérieuse est pourtant la base de toute installation domestique. Voici tout ce qu’il faut savoir pour ne plus jamais te tromper de raccord.
⏱️ En bref
🔧 Le 15/21 désigne un raccord avec 15 mm de diamètre intérieur et 21 mm de diamètre extérieur
📏 Cette dimension correspond exactement à 1/2 pouce (½ ») dans le système anglo-saxon
🏠 C’est la taille la plus courante dans les maisons pour l’alimentation en eau et gaz
💧 Tu le retrouves sur tes robinets, douches, machines à laver et radiateurs
🌍 Il s’agit d’une norme européenne adaptée des standards britanniques historiques
⚙️ Le filetage conique permet l’étanchéité sans besoin de joint supplémentaire dans certains cas
D’où vient cette notation 15/21
La dimension 15/21 en plomberie remonte à la révolution industrielle, époque où les tuyaux en acier équipaient les usines pour transporter vapeur et eau chaude. Le premier chiffre (15) représente le diamètre intérieur du raccord, tandis que le second (21) indique son diamètre extérieur, tous deux exprimés en millimètres.
Cette double indication permet aux professionnels de comprendre instantanément l’épaisseur de la paroi du raccord. À l’origine, ces mesures correspondaient précisément aux tubes en acier de l’époque. Aujourd’hui, avec l’évolution des matériaux (cuivre, PER, multicouche), les dimensions réelles peuvent légèrement varier, mais la dénomination reste inchangée par convention.
Le système européen a conservé cette notation métrique tout en adoptant les équivalences anglo-saxonnes. C’est pourquoi tu verras souvent les deux notations sur un même produit : 15/21 ou ½ ». Cette double désignation facilite les échanges commerciaux internationaux et garantit la compatibilité entre différents fabricants.
La norme BSP (British Standard Pipe) régit encore aujourd’hui ces dimensions dans toute l’Europe. Elle assure qu’un raccord 15/21 acheté en France s’adaptera parfaitement à un robinet fabriqué en Allemagne ou en Italie.
Les équivalences à connaître absolument
Le raccord 15/21 trouve son équivalent direct dans le système impérial sous l’appellation ½ pouce. Cette conversion n’est pas mathématiquement exacte, mais résulte d’une standardisation historique adoptée mondialement. En pratique, un filetage ½ » mesure environ 20,95 mm de diamètre extérieur, très proche des 21 mm annoncés.
Le diamètre nominal (DN) constitue une troisième manière d’exprimer cette même dimension. Pour le 15/21, on parle de DN15, ce qui correspond au diamètre intérieur théorique de passage du fluide. Cette notation technique apparaît surtout dans les plans d’architecte et les cahiers des charges professionnels.
Retiens bien ce tableau comparatif des dimensions les plus fréquentes :
| Dimension métrique | Équivalence pouce | Diamètre nominal | Usage principal |
|---|---|---|---|
| 🔩 12/17 | 3/8″ | DN12 | Lavabos, éviers, bidets |
| 💧 15/21 | 1/2″ | DN15 | Robinetterie générale, douches |
| ⚡ 20/27 | 3/4″ | DN20 | Compteur d’eau, chauffe-eau |
| 🌊 26/34 | 1″ | DN26 | Irrigation, pompes de jardin |
La conversion entre millimètres et pouces suit une règle simple : divise la valeur en mm par 25,4 pour obtenir les pouces. Ainsi, 21 mm ÷ 25,4 = 0,826 pouce, arrondi commercialement à ½ pouce. Cette approximation fonctionne grâce à la standardisation des filetages qui compense les écarts théoriques.
À quoi sert concrètement un raccord 15/21
Le raccord 15/21 représente le format universel de la plomberie domestique moderne. Tu le retrouves obligatoirement sur les embases de robinet de machine à laver et lave-vaisselle, permettant le raccordement rapide de tes électroménagers sans intervention complexe.
Les platines de douche utilisent systématiquement cette dimension pour les arrivées d’eau chaude et froide. Cette standardisation garantit que n’importe quel mitigeur du marché s’adaptera à ton installation existante. Les robinets extérieurs de jardin adoptent également ce format, assurant une pression suffisante pour l’arrosage.
En plomberie sanitaire, le 15/21 sert à créer ce qu’on appelle une « nourrice » : un collecteur central qui distribue l’eau vers tous les points d’utilisation de la maison. Les départs vers cuisine, salles de bains et toilettes partent généralement de ce collecteur en 15/21. Ce maillage interne permet d’isoler facilement chaque pièce en cas de fuite.
Pour le raccordement gaz, cette dimension s’impose également. Les détendeurs de bouteilles de butane et propane se vissent sur des sorties 15/21 (parfois notées 20/150 pour le gaz, une variante spécifique). Les installations de chauffage par radiateurs utilisent massivement ce format pour alimenter chaque émetteur.
En pratique, 80% des raccordements domestiques se font en 15/21 ou 20/27, les deux tailles privilégiées par les plombiers. Cette concentration sur quelques dimensions limite les risques d’erreur et réduit le stock de pièces nécessaires pour l’entretien.
Comment identifier un raccord 15/21 chez toi
La reconnaissance visuelle d’un raccord 15/21 demande un peu d’habitude, mais quelques indices ne trompent pas. Le diamètre extérieur du filetage mesure précisément 21 mm, facilement vérifiable avec un pied à coulisse ou même une règle graduée classique. Place ton instrument de mesure perpendiculairement au filetage pour une lecture exacte.
Si tu n’as pas d’outil de mesure, observe la taille relative du raccord par rapport à ta main. Un filetage 15/21 fait environ la largeur d’un pouce d’adulte (le doigt, pas l’unité de mesure cette fois !). C’est nettement plus fin qu’un 20/27 qui atteint 27 mm de diamètre extérieur.
Les raccords portent souvent une gravure sur le corps indiquant la dimension. Tu verras marqué « ½ », « 15×21 » ou simplement « 15/21 » sur la partie hexagonale du raccord. Ces inscriptions, même usées par le temps, restent généralement lisibles avec un bon éclairage.
La clé plate nécessaire au montage donne aussi un indice : un raccord 15/21 se serre avec une clé de 22 mm (parfois 19 mm selon les fabricants). À titre de comparaison, le 12/17 nécessite du 17 mm et le 20/27 du 30 mm. Garde ces correspondances en tête lors de tes achats.
Dernier test infaillible : essaie de visser le raccord sur l’équipement que tu souhaites brancher. Un filetage 15/21 mâle entre sans forcer dans un taraudage 15/21 femelle. Si tu dois forcer ou si le raccord tourne dans le vide, c’est que les dimensions ne correspondent pas. Attention toutefois, les filetages coniques ne se vissent jamais à fond, c’est normal.
Filetage mâle ou femelle : les différences
Le filetage mâle présente des rainures externes, saillantes, qui s’insèrent dans une pièce creuse. Tu le reconnais facilement car il ressemble à une vis géante. Les embouts de flexible, les mamelons et les nipples possèdent un filetage mâle. Ce type de raccord nécessite généralement du téflon ou de la filasse pour assurer l’étanchéité.
À l’inverse, le taraudage femelle (ou filetage femelle) se situe à l’intérieur d’un alésage. Les rainures sont creusées dans la matière, formant un cylindre creux fileté. Les robinets, les raccords muraux et la plupart des équipements à brancher possèdent des entrées femelles. L’étanchéité se fait souvent grâce à un joint plat ou torique placé au fond du taraudage.
Certains raccords combinent les deux : un côté mâle et un côté femelle. On les appelle manchons mâle-femelle ou adaptateurs. Ils permettent de prolonger une tuyauterie ou d’inverser le type de raccordement. Cette polyvalence les rend indispensables dans une caisse à outils de bricoleur.
Le choix entre mâle et femelle dépend de ton installation existante. Si tu dois brancher un flexible sur un robinet, tu auras besoin d’écrous femelles aux extrémités du flexible. Pour raccorder deux tuyaux rigides, un manchon à double entrée femelle et deux mamelons mâles feront l’affaire.
Retiens cette règle simple : le mâle entre toujours dans la femelle, et l’étanchéité se crée soit par écrasement d’un joint (femelle), soit par compression du filetage avec du téflon (mâle). Les deux systèmes ne sont pas interchangeables sans adaptateur.
Les matériaux compatibles avec le 15/21
Le laiton domine largement le marché des raccords 15/21. Ce alliage de cuivre et de zinc offre une excellente résistance à la corrosion et se travaille facilement. Sa malléabilité permet des serrages précis sans risque de fissure. Les raccords en laiton nickelé ajoutent une couche protectrice chromée qui améliore encore leur durabilité.
L’acier galvanisé équipe les installations anciennes et certains circuits de chauffage. Plus rigide que le laiton, il supporte mieux les contraintes mécaniques et les températures élevées (jusqu’à 120°C). Son revêtement de zinc le protège de la rouille, mais il reste déconseillé près d’acier non galvanisé pour éviter la corrosion galvanique.
Le PVC et le PPSU (polyphénylsulfone) apparaissent dans les installations modernes. Ces plastiques techniques résistent aux produits chimiques et ne corrodent jamais. Leur légèreté facilite la manipulation, mais ils supportent mal les températures au-delà de 60°C. On les trouve surtout sur les circuits d’évacuation ou d’eau froide.
Les tubes cuivre se raccordent aux filetages 15/21 via des raccords bicônes ou à compression. Le cuivre assure une longévité exceptionnelle (plus de 50 ans) et tolère parfaitement l’eau potable. Sa conductivité thermique permet aussi de l’utiliser en chauffage sans problème.
Le PER (polyéthylène réticulé) et le multicouche (PER-aluminium-PER) nécessitent des raccords spécifiques avec des bagues de sertissage ou des systèmes à compression. Ces matériaux flexibles simplifient grandement la pose, mais exigent des outils dédiés (pince à sertir, clé coaxiale).
Attention à ne jamais mélanger cuivre et acier galvanisé directement : une réaction électrochimique dégrade rapidement les deux métaux au point de contact. Utilise un raccord diélectrique (isolant) pour séparer les deux matériaux et préserver ton installation.
Les erreurs à éviter absolument
Confondre un 15/21 avec un 12/17 représente l’erreur la plus fréquente chez les débutants. La différence visuelle est subtile : seulement 4 mm d’écart sur le diamètre extérieur. Résultat : le raccord semble presque rentrer, tu forces, et tu abîmes le filetage. Vérifie toujours deux fois avant de serrer.
Utiliser un joint inadapté provoque des fuites à coup sûr. Les joints plats en fibres conviennent aux raccords femelles plats, tandis que les joints toriques s’insèrent dans les gorges prévues à cet effet. Sur un filetage mâle conique, c’est le téflon ou la filasse qui assure l’étanchéité, jamais un joint plat.
Le sur-serrage détruit plus de raccords que le sous-serrage. Un filetage conique atteint son étanchéité après 2 à 3 tours une fois que la résistance augmente. Forcer davantage fissure le laiton ou déforme le plastique. Apprends à sentir le point de blocage et ajoute juste un demi-tour de sécurité.
Oublier le sens d’enroulement du téflon annule son efficacité. Enroule toujours le ruban dans le sens du vissage (sens horaire vu de face). Ainsi, le serrage plaque le téflon contre le filetage au lieu de le décoller. Fais 3 à 4 tours en tirant légèrement sur le ruban pour qu’il adhère bien.
Ne jamais nettoyer les filetages avant assemblage garantit presque une fuite. Les résidus de coupe, le calcaire ou les anciens joints encrassent les rainures et empêchent un contact parfait. Brosse métallique et chiffon propre sont tes meilleurs alliés avant chaque raccordement.
Mélanger les normes gaz et eau peut coûter cher, voire dangereux. Un raccord 20/150 (gaz) ressemble au 15/21 mais possède un pas de vis différent. Les raccords gaz portent une inscription « GAZ » et un filetage inversé (sens antihoraire) pour éviter toute confusion. Respecte scrupuleusement ces distinctions.
Quel outil pour serrer un raccord 15/21
La clé à molette reste l’outil universel du plombier amateur. Réglable de 0 à 30 mm, elle s’adapte à tous les raccords domestiques. Choisis un modèle de 250 mm de long minimum, qui offre un bon compromis entre force de serrage et maniabilité dans les espaces restreints.
Les clés plates de 19 mm et 22 mm suffisent pour 90% des interventions sur du 15/21. Ces clés fixes procurent un meilleur contact avec le raccord et limitent les risques d’arrondir les angles. Un jeu de clés mixtes (plates d’un côté, à œil de l’autre) coûte moins de 20 euros et dure une vie entière.
La pince multiprise dépanne en l’absence d’autre outil, mais attention : ses mâchoires crantées marquent facilement le métal. Réserve-la aux situations d’urgence ou protège le raccord avec un chiffon épais. Son avantage : elle bloque fermement les pièces rondes comme les écrous de flexible.
Pour les raccords encastrés ou difficiles d’accès, une clé à tube ou clé serre-tube devient indispensable. Sa tête articulée pivote à 90° et permet de travailler dans des angles impossibles avec une clé classique. Les modèles télescopiques ajoutent encore plus de polyvalence.
Les professionnels utilisent des clés dynamométriques pour les installations critiques (gaz, chauffage collectif). Ces outils garantissent un serrage précis en Newton-mètre, évitant sous-serrage et sur-serrage. Pour un usage domestique, c’est superflu : ton ressenti suffit avec un peu d’expérience.
N’oublie pas le petit matériel complémentaire : brosse métallique pour nettoyer les filetages, cutter pour couper proprement le téflon, chiffon pour essuyer les résidus. Ces accessoires font la différence entre une réparation propre et un bricolage approximatif.
Les alternatives au raccord fileté classique
Les raccords à compression (ou bicônes) révolutionnent le raccordement sur tube cuivre. Tu glisses une bague conique et un écrou sur le tube, puis tu serres : la bague s’écrase et assure l’étanchéité. Aucune soudure nécessaire, et le démontage reste possible. Parfait pour les débutants ou les réparations temporaires.
Le système PER avec raccords à sertir gagne du terrain dans les constructions neuves. Une pince spéciale comprime une bague métallique autour du tube, créant un assemblage définitif et ultra-fiable. Inconvénient : l’outillage coûte cher (150 à 300 euros pour une pince de qualité).
Les raccords instantanés à clipser simplifient encore le processus. Tu enfonces le tube dans le raccord jusqu’au clic : terminé. Ces systèmes équipent surtout le multicouche et certains tubes PER. Leur fiabilité dépend fortement de la qualité du produit ; privilégie les marques reconnues.
Pour le tube multicouche, les raccords à glissement avec système TH (TH pour « Tube Hollandais ») offrent un compromis intéressant. Un système de griffes intérieures accroche le tube tandis qu’un joint torique assure l’étanchéité. Le serrage manuel suffit, aucun outil spécifique requis.
Les raccords push-fit à clipser sur tubes rigides (cuivre, acier) séduisent par leur rapidité de pose. Un mécanisme à billes ou à griffes retient le tube inséré. Ces solutions conviennent aux installations provisoires ou aux rénovations partielles, moins aux créations complètes où la soudure reste préférable.
Chaque système possède ses avantages et limites. Les raccords filetés 15/21 traditionnels gardent leur place pour leur universalité et leur compatibilité avec tous types d’équipements. Tu peux toujours adapter un système moderne vers un filetage classique grâce aux nombreux adaptateurs disponibles.
Ce qu’il faut retenir pour réussir tes branchements
La dimension 15/21 s’impose comme la référence incontournable de la plomberie résidentielle. Cette double notation millimétrique (diamètre intérieur/extérieur) équivaut au ½ pouce anglo-saxon et couvre la majorité des besoins domestiques. Tu la retrouveras sur tes robinets, douches, machines à laver et installations de chauffage.
Vérifie systématiquement la dimension avant tout achat de raccord. Un simple pied à coulisse ou une clé de 22 mm confirment qu’il s’agit bien d’un 15/21. Les confusions avec le 12/17 ou le 20/27 provoquent des erreurs coûteuses en temps et en matériel.
L’étanchéité dépend autant de la qualité du raccord que de la technique de pose. Téflon bien enroulé sur les filetages mâles, joints adaptés aux taraudages femelles, serrage ferme sans excès : ces gestes simples évitent 95% des fuites domestiques. N’hésite pas à faire un test sous pression avant de refermer une installation.
Les matériaux évoluent mais les dimensions restent. Que tu travailles avec du cuivre traditionnel, du PER moderne ou du multicouche, le passage vers la robinetterie se fera presque toujours par un raccord 15/21. Cette standardisation garantit que ton installation reste évolutive et facilement réparable.
Questions fréquentes
Puis-je raccorder du PER sur un filetage 15/21 ?
Oui, avec un raccord adapté. Les fabricants proposent des raccords mixtes : un côté à sertir ou à compression pour le PER, l’autre côté fileté 15/21 mâle ou femelle selon tes besoins. Ces pièces spécifiques créent la transition entre les deux technologies sans compromis sur l’étanchéité.
Combien de tours de téflon faut-il mettre ?
3 à 4 tours suffisent pour un filetage conique 15/21. Commence 2 filets après le début du filetage, enroule en tirant légèrement pour plaquer le ruban, et termine juste avant la fin des rainures. Trop de téflon empêche le vissage complet et réduit paradoxalement l’étanchéité.
Le 15/21 convient-il pour le gaz ?
Oui, mais avec des précautions. Utilise exclusivement des raccords certifiés gaz (marquage « GAZ » visible) et du téflon jaune spécial gaz. Le filetage est parfois inversé (vissage antihoraire) sur certains appareils pour éviter les confusions. Fais contrôler ton installation par un professionnel certifié.
Quelle est la différence entre 15/21 et DN15 ?
Le DN15 (Diamètre Nominal 15) désigne le diamètre intérieur théorique de passage, soit environ 15 mm. Le 15/21 précise en plus le diamètre extérieur (21 mm). Ces deux notations décrivent le même raccord sous des angles différents, le DN étant plus utilisé dans les plans techniques.
Peut-on réutiliser un raccord 15/21 déjà monté ?
En théorie oui, en pratique c’est risqué. Le démontage abîme souvent le téflon ou déforme légèrement le filetage. Si tu dois réutiliser un raccord, nettoie-le parfaitement, inspecte le filetage à la recherche de fissures, et remets du téflon neuf. Pour les installations définitives, privilégie du matériel neuf.
Combien coûte un raccord 15/21 en moyenne ?
Les prix varient de 2 à 15 euros selon le type et la qualité. Un simple mamelon laiton coûte 2-3 euros, un coude chromé 5-7 euros, un raccord spécial (équerre, té, réducteur) jusqu’à 15 euros. Les grandes surfaces de bricolage proposent souvent des lots économiques pour les dimensions courantes.
