Tu cherches une solution d’isolation performante qui respecte la planète ? Homatherm propose des isolants biosourcés en fibre de bois et ouate de cellulose qui allient confort thermique, protection acoustique et démarche écologique. Fabriqués en Europe avec des matériaux naturels certifiés, ces isolants réduisent ta facture énergétique tout en améliorant ton bien-être au quotidien. Découvre comment ces solutions durables transforment ton logement en cocon sain et économe.
En bref
- Homatherm fabrique des isolants biosourcés en fibre de bois et ouate de cellulose depuis 1994
- Les performances thermiques atteignent un lambda de 0,036 à 0,050 W/m·K pour une isolation optimale
- L’isolation acoustique bloque jusqu’à 63 dB de nuisances sonores grâce à une densité élevée
- Les matériaux proviennent de forêts certifiées PEFC et FSC, garantissant une gestion durable
- La production européenne réduit l’empreinte carbone et favorise l’économie circulaire locale
- Les produits s’adaptent à tous types de travaux : ITI, ITE, toitures, murs et planchers
- Le déphasage thermique exceptionnel protège du froid l’hiver et de la chaleur l’été
- Les isolants régulent naturellement l’humidité pour un air intérieur sain sans moisissures
Pourquoi choisir des isolants biosourcés pour ton projet
Les isolants écologiques révolutionnent le bâtiment en remplaçant les matériaux synthétiques par des alternatives naturelles. La fibre de bois et la ouate de cellulose captent le CO₂ pendant leur croissance, contrairement aux isolants pétrochimiques qui émettent des gaz à effet de serre lors de leur fabrication.
Ces matériaux biosourcés offrent une double performance. En pratique, un panneau de fibre de bois de 100 mm d’épaisseur atteint une résistance thermique R de 2,5 à 2,8 m²·K/W, comparable aux isolants conventionnels. La différence réside dans le déphasage thermique : la fibre de bois absorbe deux fois plus d’énergie que la laine de roche, retardant la pénétration de la chaleur jusqu’à 12 heures en été.
Le prix reste plus élevé que les isolants minéraux (15 à 35 € par m² contre 8 à 20 €), mais les économies d’énergie compensent cet écart. Les dernières études montrent que les matériaux biosourcés réduisent jusqu’à 40 % les émissions de gaz à effet de serre comparé aux isolants traditionnels. Les certifications ACERMI et Natureplus garantissent leurs performances et leur innocuité pour la santé.
La fibre de bois Homatherm : performances thermiques et acoustiques
La fibre de bois se distingue par sa structure dense et rigide obtenue par défibrage de bois résineux. Les panneaux Homatherm affichent une conductivité thermique (lambda) entre 0,036 et 0,046 W/m·K, rivalisant avec les meilleurs isolants du marché. Cette performance s’accompagne d’une densité remarquable de 140 à 180 kg/m³, trois à six fois supérieure aux isolants synthétiques.
Sur le plan acoustique, la fibre de bois excelle avec un coefficient d’affaiblissement Rw de 25 à 45 dB. En pratique, un panneau de 140 mm placé en mur intérieur réduit les conversations du voisinage à un murmure imperceptible. La structure fibreuse absorbe les ondes sonores au lieu de les réfléchir, créant un environnement calme même en milieu urbain bruyant.
Le déphasage thermique constitue l’atout majeur de ce matériau. Contrairement aux isolants minces qui laissent passer la chaleur en quelques heures, la fibre de bois la retient pendant 10 à 14 heures selon l’épaisseur. Cette inertie maintient ta maison fraîche pendant les canicules sans climatisation énergivore. Les normes françaises NF EN 13171 certifient ces performances pour une durabilité de 50 ans minimum.
L’utilisation couvre tous les postes d’isolation. Les panneaux rigides s’installent en isolation par l’extérieur (ITE) sur façades et toitures, supportant les intempéries grâce à leur traitement hydrophuge. Les panneaux flexibles glissent entre les chevrons pour l’isolation thermique par l’intérieur (ITI), s’adaptant aux irrégularités de la charpente. Pour les planchers, les versions haute densité supportent jusqu’à 15 tonnes par m² sans déformation.
Ouate de cellulose : l’isolant recyclé aux multiples avantages
La ouate de cellulose transforme les journaux invendus et chutes de papeterie en isolant performant. Ce matériau recyclé compose 85 à 95 % de papier broyé traité avec du sel de bore pour la résistance au feu (classement M1). Homatherm propose cette solution en flocons à souffler pour les combles perdus et en panneaux pour les murs.
Les performances thermiques atteignent un lambda de 0,038 à 0,042 W/m·K, légèrement supérieur à la fibre de bois mais compensé par un prix inférieur (10 à 20 € par m²). L’installation par soufflage mécanique comble tous les interstices, éliminant les ponts thermiques responsables de 30 % des déperditions énergétiques dans les combles mal isolés.
La régulation hygrométrique représente un avantage décisif. La cellulose absorbe jusqu’à 15 % de son poids en humidité sans perdre ses propriétés isolantes, puis la restitue quand l’air s’assèche. Ce phénomène stabilise le taux d’humidité intérieur entre 40 et 60 %, prévenant les problèmes de condensation et les moisissures toxiques.
Sur le plan acoustique, la ouate atténue efficacement les bruits aériens avec un affaiblissement de 35 à 42 dB selon l’épaisseur. Les fibres enchevêtrées piègent les ondes sonores, transformant l’énergie acoustique en chaleur imperceptible. Pour les bruits d’impact (pas, chutes d’objets), elle nécessite un complément avec une sous-couche résiliente en liège ou caoutchouc.
L’économie circulaire ferme la boucle : en fin de vie après 40 à 50 ans, la ouate se recycle à 100 % en nouvel isolant. Cette valorisation évite l’incinération qui libère 1 tonne de CO₂ par tonne brûlée selon les données professionnelles du secteur.
Installation et applications des solutions Homatherm
Les isolants Homatherm s’adaptent à chaque zone du bâti selon des techniques spécifiques. Pour les combles aménagés, les panneaux flexibles de 140 à 240 mm se glissent entre chevrons, fixés par agrafage ou clouage. L’installation d’un pare-vapeur côté intérieur et d’un écran sous-toiture côté extérieur protège l’isolant de l’humidité.
En isolation des murs par l’extérieur, les panneaux rigides de 100 à 200 mm se fixent mécaniquement sur la façade existante. Le système d’emboîtement rainure-languette garantit la continuité sans pont thermique. Un bardage bois ou un enduit sur treillis finalise l’ouvrage, protégeant la fibre de bois des UV et de la pluie battante.
Pour les combles perdus, le soufflage de ouate de cellulose offre la solution la plus rapide. Une machine pneumatique projette les flocons à travers une canalisation, créant une couche homogène de 300 à 400 mm pour atteindre R = 7 m²·K/W, conformément aux exigences de la Réglementation Environnementale 2020.
Les planchers nécessitent des panneaux haute densité type Pavatherm ou Steico Therm, posés sur le solivage avant la chape ou le parquet. Ces versions supportent les charges permanentes et les passages répétés sans tassement. Une sous-couche acoustique de 5 à 7 mm atténue les bruits d’impact de 18 à 22 dB supplémentaires.
Retour d’expérience : les artisans certifiés RGE recommandent de doubler les épaisseurs prescrites en rénovation pour compenser les défauts d’étanchéité à l’air des bâtiments anciens. Cette précaution évite les mauvaises surprises lors du test de perméabilité exigé pour obtenir les aides financières MaPrimeRénov’.
Production locale et certifications environnementales
La fabrication européenne distingue Homatherm des isolants importés d’Asie ou d’Amérique. Les usines allemandes situées près des forêts certifiées PEFC et FSC transforment le bois local en panneaux isolants dans un rayon de 300 km maximum. Cette proximité divise par trois l’empreinte carbone du transport comparé aux produits intercontinentaux.
Le processus industriel minimise la consommation énergétique. Le défibrage mécanique du bois requiert 50 kWh par m³ d’isolant produit, contre 150 à 250 kWh pour les laines minérales qui nécessitent des fours à 1 400 °C. Les chutes de fabrication alimentent une centrale biomasse qui couvre 80 % des besoins énergétiques de l’usine.
Les certifications Natureplus et A+ pour la qualité de l’air attestent l’absence d’émissions de COV nocifs. Les tests en laboratoire mesurent les composés organiques volatils pendant 28 jours en chambre hermétique : les résultats inférieurs à 10 µg/m³ classent ces isolants parmi les plus sains du marché, loin des normes maximales de 1 500 µg/m³.
La traçabilité garantit l’origine renouvelable du bois. Les forêts PEFC appliquent des coupes sélectives préservant la biodiversité : pour chaque arbre abattu, trois nouveaux sont plantés. Ce cycle maintient un stock forestier en croissance constante, captant plus de CO₂ qu’il n’en libère. Les audits annuels vérifient le respect des 39 critères de gestion durable imposés par la certification.
Prix et rentabilité d’une isolation Homatherm
Le coût d’installation varie selon la zone et la technique choisie. Pour une isolation de combles perdus en ouate de cellulose soufflée, compte 25 à 35 € par m² pose comprise avec 350 mm d’épaisseur (R = 7). Les panneaux de fibre de bois en toiture s’installent entre 45 et 75 € par m² pour 200 mm (R = 5), incluant la main-d’œuvre qualifiée.
L’isolation des murs par l’extérieur représente l’investissement le plus conséquent : 120 à 180 € par m² avec bardage, contre 40 à 60 € par l’intérieur. Cette différence s’explique par les travaux d’échafaudage et la finition extérieure, mais l’ITE préserve la surface habitable et traite efficacement les ponts thermiques.
Les économies d’énergie compensent rapidement l’investissement initial. Une maison de 100 m² mal isolée consomme 2 500 € de chauffage annuel en moyenne. Après isolation complète aux standards RE 2020, la facture chute à 800 €, générant 1 700 € d’économies par an. Le retour sur investissement intervient en 8 à 12 ans selon les aides obtenues.
Les dispositifs financiers réduisent substantiellement le reste à charge. MaPrimeRénov’ couvre jusqu’à 75 € par m² isolé pour les ménages modestes, doublée des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) offrant 10 à 20 € supplémentaires par m². L’éco-PTZ à taux zéro finance le solde sur 15 ans sans intérêts, rendant les travaux accessibles sans apport personnel.
Conseil de pro : privilégie un artisan certifié RGE pour garantir les aides et la qualité d’exécution. Les malfaçons d’isolation coûtent trois fois plus cher à réparer qu’à bien faire dès le départ, sans compter la perte d’économies pendant les années d’attente avant correction.
Comparaison avec les autres isolants du marché
Face aux isolants synthétiques (polystyrène, polyuréthane), la fibre de bois Homatherm affiche un lambda légèrement supérieur (0,036 contre 0,022 à 0,028). Cette différence de 40 % de performance thermique pure se compense par le déphasage : le polystyrène laisse passer la chaleur en 2 heures contre 12 heures pour la fibre de bois, rendant cette dernière indispensable en zone de canicule.
La laine de verre traditionnelle coûte moitié moins cher (8 à 15 € par m²) mais n’offre aucune protection estivale ni isolation acoustique comparable. Son coefficient d’affaiblissement acoustique plafonne à 25 dB contre 45 dB pour la fibre de bois à épaisseur égale. Les fibres minérales irritent aussi la peau et les voies respiratoires lors de la pose, nécessitant équipements de protection intégrale.
Les isolants biosourcés concurrents comme le chanvre (lambda 0,040) ou la laine de mouton (0,038) présentent des performances proches. Le chanvre résiste mieux aux rongeurs grâce à sa teneur en silice, mais sa disponibilité limitée en France le rend 20 à 30 % plus onéreux. La laine de mouton régule excellemment l’humidité mais supporte mal les charges, la réservant aux murs et combles.
Le liège expansé domine pour les sols avec sa résistance à la compression exceptionnelle (300 kPa contre 100 kPa pour la fibre de bois). Son prix prohibitif de 50 à 80 € par m² le cantonne aux zones techniques exigeantes. Pour un usage polyvalent combinant thermique, acoustique et tenue mécanique, la fibre de bois Homatherm reste le compromis optimal en termes de rapport qualité-prix-performances.
Entretien et durabilité des isolants Homatherm
La durée de vie des isolants Homatherm dépasse 50 ans dans des conditions normales d’utilisation. Les tests de vieillissement accéléré simulent 75 ans d’exposition : la fibre de bois conserve 95 % de ses propriétés thermiques initiales, confirmant sa stabilité dimensionnelle. Le tassement reste inférieur à 2 % sur toute la durée de vie, contrairement aux laines minérales qui perdent 10 à 20 % d’épaisseur après 20 ans.
L’entretien se limite à la surveillance de l’humidité. Une ventilation mécanique contrôlée (VMC) évacue la vapeur d’eau produite par les occupants (10 à 15 litres par jour pour une famille de quatre personnes), empêchant la condensation dans l’isolant. Un hygromètre placé dans les pièces humides (salle de bain, cuisine) signale tout déséquilibre nécessitant une intervention.
Les traitements préventifs intégrés protègent contre les parasites. Les sels de bore incorporés à 5 % dans la ouate de cellulose repoussent insectes et rongeurs sans toxicité pour l’homme. Les tests selon norme EN 335 confirment l’absence d’attaque biologique sur 30 ans. La fibre de bois contient naturellement des tanins antifongiques, expliquant sa résistance aux moisissures même en milieu humide temporaire.
En fin de vie, le recyclage valorise 100 % de la matière. Les panneaux de fibre de bois déposés lors d’une rénovation se broient en plaquettes pour fabriquer des panneaux de particules ou alimenter des chaufferies biomasse. La ouate de cellulose redevient pâte à papier après défibrage. Cette économie circulaire évite l’enfouissement en décharge qui génère du méthane, gaz à effet de serre 25 fois plus puissant que le CO₂.
Ton habitat durable commence maintenant
Opter pour les solutions d’isolation Homatherm représente bien plus qu’un simple choix technique. Tu investis dans un confort thermique et acoustique durable tout en participant activement à la transition écologique. Les matériaux biosourcés en fibre de bois et ouate de cellulose allient performances supérieures et respect de l’environnement, transformant ton logement en espace sain où il fait bon vivre.
Les économies d’énergie générées réduisent ta facture de chauffage de 60 % en moyenne, amortissant l’investissement initial en moins d’une décennie. Les aides financières actuelles couvrent jusqu’à 50 % des travaux pour les ménages moyens, rendant ces solutions accessibles sans grever ton budget. N’attends pas : chaque mois sans isolation performante représente des euros perdus et du CO₂ inutilement émis.
Contacte un artisan RGE spécialisé dans les isolants écologiques pour établir un diagnostic personnalisé de ton habitat. Compare plusieurs devis en vérifiant la cohérence des épaisseurs proposées et des résistances thermiques garanties. Les normes RE 2020 fixent des seuils minimaux, mais viser 20 % au-dessus t’assure une tranquillité totale face aux futures réglementations et aux évolutions climatiques.



