Tu cherches à installer ou réparer ta plomberie sans manipuler le chalumeau ? Les raccords sans soudure représentent la solution idéale pour les bricoleurs de tous niveaux. Ces systèmes modernes permettent d’assembler des tuyaux en cuivre, PER ou multicouche en quelques minutes, sans compétences techniques particulières. Du raccord bicône au push-fit automatique, chaque technique offre des avantages spécifiques selon ton projet.
⏱️ En bref
✅ Les raccords de plomberie sans soudure éliminent le besoin de chalumeau et réduisent les risques d’incendie
🔧 Cinq types principaux : bicône (olive), automatique (push-fit), à sertir, à compression et à visser
💰 Coût supérieur aux raccords traditionnels (20 à 50% plus chers) mais gain de temps considérable
⚡ Installation 3 à 5 fois plus rapide qu’une soudure classique selon les professionnels du secteur
🔄 Compatibles avec différents matériaux : cuivre, PER, multicouche et même PVC
🛠️ Outillage minimal requis : coupe-tube, clé plate et ébavureur suffisent pour la plupart des poses
Qu’est-ce qu’un raccord sans soudure en plomberie
Un raccord sans soudure est un système de jonction mécanique qui assemble deux tuyaux sans utiliser de chalumeau ni de brasure. Ces raccords utilisent différents principes d’étanchéité : compression d’une bague (olive), verrouillage automatique par griffes internes ou sertissage par pince hydraulique.
Contrairement aux raccords cuivre traditionnels qui nécessitent une flamme à 800°C, les systèmes sans soudure s’installent à froid. Cette caractéristique les rend particulièrement adaptés aux espaces confinés, aux zones sensibles au feu et aux interventions rapides. Les dernières études montrent que 65% des plombiers professionnels utilisent désormais ces raccords pour au moins la moitié de leurs chantiers.
Le principe repose sur une étanchéité créée par déformation contrôlée des matériaux. Dans un raccord bicône par exemple, l’olive en laiton se déforme lors du serrage et crée un joint parfaitement hermétique. Les raccords automatiques utilisent des joints toriques en EPDM qui résistent aux températures de -20°C à +110°C.
Les normes en vigueur imposent des certifications strictes pour l’eau potable. Tous les raccords plomberie sans soudure destinés à l’alimentation doivent répondre à la certification ACS (Attestation de Conformité Sanitaire). Cette garantie protège contre la migration de substances nocives dans l’eau.
Les différents types de raccords sans soudure
Raccord bicône ou raccord à olive
Le raccord bicône représente le système le plus répandu en plomberie cuivre sans soudure. Il se compose de trois éléments : un corps en laiton, une olive conique et un écrou de serrage. L’olive se compresse entre le tube et le corps lors du vissage, créant une étanchéité mécanique.
Installation simple avec une clé plate ou une clé à molette. Tu coupes ton tube proprement, tu ébavures l’extrémité, tu enfiles l’écrou puis l’olive, et tu serres jusqu’à résistance. Deux tours de clé supplémentaires après le premier blocage assurent l’étanchéité parfaite. Cette technique fonctionne sur tubes cuivre de 10 à 28 mm de diamètre.
Points forts : fiabilité éprouvée depuis des décennies, démontable et remontable plusieurs fois, résistance aux pressions jusqu’à 16 bars. Les plombiers apprécient particulièrement ce raccord pour sa durabilité. En pratique, un raccord bicône bien posé peut durer 30 ans sans aucune fuite.
Limites à connaître : interdit pour les installations gaz, nécessite un tube cuivre écroui de qualité, risque de sur-serrage qui écrase l’olive. Sur tube recuit, utilise une douille de renfort pour éviter l’écrasement du cuivre mou.
Raccord automatique push-fit
Les raccords push-fit révolutionnent la plomberie domestique. Tu enfonces simplement le tube jusqu’au clic d’enclenchement. Des griffes internes et des joints toriques assurent simultanément le maintien mécanique et l’étanchéité. Zéro outil nécessaire pour la pose.
Ce système raccord rapide accepte indifféremment le cuivre, le PER et le multicouche. Cette polyvalence simplifie les raccordements mixtes lors de rénovations. Tu peux connecter un vieux tuyau cuivre à une extension en PER sans adaptateur spécifique.
Installation express : coupe droite du tube, ébavurage soigné, marquage de la profondeur d’insertion, enfoncement ferme jusqu’à la butée. Le clic audible confirme le verrouillage. Pour démonter, une bague spéciale libère les griffes et permet de retirer le tube.
Retour d’expérience : idéal pour les espaces difficiles d’accès où une pince à sertir ne passerait pas. Les fabricants garantissent généralement ces raccords 10 ans. Attention toutefois aux contrefaçons : privilégie les marques reconnues qui utilisent des joints de qualité professionnelle.
Conseil de pro : vérifie que ton tube entre sans forcer mais sans jeu excessif. Un diamètre légèrement hors tolérance compromet l’étanchéité. Marque toujours la profondeur d’insertion au crayon pour contrôler visuellement l’enfoncement complet.
Raccord à sertir
Le sertissage utilise une pince hydraulique qui comprime une bague métallique autour du tube. Cette déformation permanente crée une liaison indémontable d’une solidité exceptionnelle. Les professionnels privilégient ce procédé pour les installations définitives encastrées.
Deux technologies coexistent : sertissage en un point (compression en H) et sertissage en deux points (compression en U). Le double sertissage offre une sécurité supérieure pour les circuits de chauffage haute pression. Les raccords portent une pastille verte pour l’eau et jaune pour le gaz.
Avantages décisifs : résistance aux vibrations, absence totale de maintenance, étanchéité garantie même après 50 ans selon les fabricants. Les raccords sertis supportent des pressions jusqu’à 25 bars en continu. Cette robustesse justifie leur usage dans les immeubles collectifs.
Investissement initial : une pince à sertir manuelle coûte entre 150 et 400€, les modèles électriques dépassent 1000€. Pour un chantier ponctuel, la location reste plus économique. Certaines enseignes de bricolage proposent la location à 25€ la journée.
Dans les faits, le sertissage élimine le risque d’oubli de connexion. Contrairement à la soudure où un raccord non brasé fuit immédiatement à la mise en pression, un raccord non serti se détecte visuellement car la bague reste non déformée.
Raccord à compression et raccord à visser
Le raccord à compression ressemble au bicône mais utilise une bague crantée qui mord dans le métal du tube. Cette morsure crée une accroche mécanique renforcée. Particulièrement adapté aux tubes souples comme le cuivre recuit ou le PER.
Le raccord à visser combine écrou, joint plat en fibre et rondelle métallique. L’étanchéité dépend entièrement de la qualité du joint et du couple de serrage. Tu trouves ce système principalement sur les raccordements de robinetterie. Le joint se comprime entre deux surfaces planes lors du vissage.
| Type de raccord | Démontable | Pression max | Difficulté | Coût moyen |
|---|---|---|---|---|
| 🔩 Bicône | Oui | 16 bars | Facile | 3-8€ |
| ⚡ Push-fit | Oui | 10 bars | Très facile | 8-15€ |
| 🔨 À sertir | Non | 25 bars | Moyenne | 5-12€ |
| 🔧 À compression | Oui | 12 bars | Facile | 4-10€ |
| 📐 À visser | Oui | 8 bars | Très facile | 2-6€ |
Comment choisir le bon raccord selon ta situation
Le choix du raccord dépend de quatre critères principaux : le matériau des tuyaux existants, la nature du fluide transporté, l’accessibilité de la zone d’installation et ton niveau de compétence.
Pour une réparation d’urgence sur cuivre apparent, le raccord automatique s’impose. Installation en 30 secondes sans outil ni électricité. Pour une installation complète neuve, le sertissage offre la meilleure longévité. Les raccords bicônes excellent sur les petits chantiers avec budget limité.
Identifie d’abord le diamètre précis de tes tubes avec un pied à coulisse. Les diamètres standards en plomberie domestique sont 12, 14, 16, 18 et 22 mm pour le cuivre. Le PER utilise principalement du 12 et 16 mm. Un raccord de 14 mm ne fonctionnera jamais sur un tube de 16 mm.
Les normes en vigueur imposent des diamètres minimaux selon les usages : 10 mm pour un lavabo, 12 mm pour un évier, 14 mm pour une douche, 16 mm pour une baignoire. Ces dimensions garantissent un débit suffisant et évitent la surpression dans les canalisations.
Attention aux spécificités du gaz : seuls les raccords à sertir avec pastille jaune sont autorisés. Les raccords bicônes et push-fit restent strictement interdits sur les installations gaz pour des raisons de sécurité évidentes. Une fuite de gaz peut avoir des conséquences dramatiques.
Pour raccorder cuivre et PER, privilégie les raccords universels compatibles multi-matériaux. Certains fabricants proposent des gammes hybrides spécifiquement conçues pour ces transitions. Vérifie systématiquement la compatibilité inscrite sur l’emballage.
Conseil de pro : pour une installation encastrée dans un mur ou une dalle, évite absolument les raccords démontables. Opte pour du sertissage ou de la soudure. Un raccord push-fit ou bicône enterré qui fuit nécessite de tout casser pour intervenir.
Installation étape par étape d’un raccord sans soudure
La préparation représente 70% de la réussite. Commence par couper ton eau à la vanne générale et purger les canalisations. Ouvre les robinets situés en aval pour évacuer la pression résiduelle. Un tube sous pression complique considérablement la pose.
Coupe et préparation du tube :
Utilise un coupe-tube à molette plutôt qu’une scie à métaux. La coupe sera parfaitement perpendiculaire et sans bavure excessive. Serre progressivement la molette en tournant l’outil autour du tube. Une coupe en biais compromet l’étanchéité du raccord.
Ébavure l’intérieur et l’extérieur du tube avec un ébavureur conique. Les bavures créent des turbulences dans le flux d’eau et endommagent les joints toriques. Un tube mal ébavuré peut déchirer le joint d’un raccord push-fit lors de l’insertion.
Assemblage selon le type :
Pour un raccord bicône : enfile d’abord l’écrou sur le tube (attention au sens), puis l’olive. Insère le tube dans le corps du raccord jusqu’à la butée. Visse l’écrou à la main jusqu’à résistance. Serre avec deux clés : une bloque le corps, l’autre tourne l’écrou d’un tour et demi supplémentaire.
Pour un raccord push-fit : marque au crayon la profondeur d’insertion indiquée (généralement 15 à 20 mm selon le diamètre). Humidifie légèrement le tube et les joints avec de l’eau. Enfonce fermement et droit jusqu’au clic. Tire sur le tube pour vérifier le verrouillage.
Pour un raccord à sertir : glisse d’abord la bague sur le tube, puis insère le tube dans le raccord. Positionne les mâchoires de la pince sur la bague en respectant le marquage du fabricant. Active la pince jusqu’au déblocage automatique. La bague montre une déformation en H ou en U bien visible.
Mise en pression et vérification :
Après assemblage, ouvre progressivement la vanne générale. Observe attentivement chaque raccord pendant 5 minutes. Une micro-fuite peut mettre quelques minutes à apparaître. Passe un papier absorbant sous chaque jonction pour détecter les suintements invisibles à l’œil.
Si tu constates une fuite sur un raccord bicône : resserre d’un quart de tour supplémentaire maximum. Au-delà, tu risques d’écraser l’olive irrémédiablement. Sur un push-fit qui fuit : démonte, vérifie l’état du joint et la qualité de la coupe du tube, puis remonte avec un nouveau joint si nécessaire.
Avantages et limites de la plomberie sans soudure
Les raccords sans soudure transforment la plomberie domestique en travail accessible. Premier avantage : la sécurité. Aucun risque d’incendie contrairement au chalumeau qui génère une flamme à 800°C. Dans les combles avec isolation, les cloisons sèches ou près de câbles électriques, cette absence de chaleur change tout.
Le gain de temps atteint 60 à 70% selon les retours d’expérience des artisans. Un raccord push-fit se pose en 2 minutes contre 15 minutes pour une soudure (chauffage, brasage, refroidissement). Sur une installation complète d’appartement, tu gagnes facilement une journée de travail.
La polyvalence matérielle simplifie les rénovations. Tu raccordes directement cuivre ancien et PER neuf avec le même raccord. Plus besoin de manchons intermédiaires complexes. Cette flexibilité réduit le stock de pièces à prévoir sur le chantier.
La maintenance devient accessible aux non-professionnels. Un raccord démontable permet de changer un robinet ou d’ajouter un piquage sans appeler de plombier. L’autonomie sur les petits dépannages génère des économies substantielles à long terme.
En revanche, le coût unitaire supérieur pèse sur les gros chantiers. Un raccord push-fit coûte 10 à 15€ contre 2€ pour un manchon cuivre à souder. Sur une installation de 50 raccords, la différence atteint 400 à 650€. Ce surcoût se justifie si tu n’as pas l’équipement de soudure.
La robustesse mécanique reste inférieure à une soudure. Les raccords à joints supportent moins bien les vibrations prolongées. Dans les installations soumises aux coups de bélier répétés, certains fabricants recommandent la soudure traditionnelle. Les professionnels du secteur observent une durée de vie moyenne de 15 à 20 ans contre 40 ans pour une soudure bien réalisée.
Les normes en vigueur imposent certaines restrictions. Les raccords démontables doivent rester accessibles pour inspection. Tu ne peux pas les noyer dans une dalle béton ou un mur sans trappe de visite. Cette contrainte peut compliquer certaines configurations architecturales.
Erreurs fréquentes à éviter absolument
La coupe approximative représente l’erreur numéro un. Un tube coupé en biais ne s’enfonce pas complètement dans le raccord. L’étanchéité reste partielle et la fuite apparaît après quelques jours sous pression. Utilise systématiquement un coupe-tube à molette pour garantir la perpendicularité.
L’ébavurage négligé détruit les joints des raccords push-fit. Une simple bavure pointue transperce le joint torique lors de l’insertion du tube. Le raccord semble étanche à la mise en eau mais fuit après quelques cycles de dilatation. Consacre 30 secondes à bien ébarber intérieur et extérieur.
Le sur-serrage des raccords bicônes écrase définitivement l’olive. Une fois déformée excessivement, elle ne peut plus assurer l’étanchéité même après démontage-remontage. Respecte le couple de serrage : un tour et demi après le premier blocage suffit amplement.
L’oubli de l’écrou avant montage du tube dans le corps du raccord. Cette étourderie classique t’oblige à tout démonter. Prends l’habitude de vérifier l’ordre d’enfilage avant chaque assemblage : écrou, olive ou joint, puis insertion dans le corps.
Le mélange de diamètres incompatibles provoque des fuites immédiates. Un raccord de 14 mm sur un tube de 16 mm ne tiendra jamais, même avec force. Mesure précisément tes tubes avec un pied à coulisse avant d’acheter tes raccords.
L’utilisation de raccords push-fit premier prix sur circuits critiques. Les joints bas de gamme durcissent et fissurent après 3 à 5 ans. Investis dans des marques reconnues pour les installations définitives. La différence de prix de 3 à 4€ par raccord évite des dégâts des eaux coûteux.
La pose de raccords démontables en zone inaccessible. Un raccord encastré qui fuit nécessite de détruire le revêtement pour intervenir. Sur les installations enterrées ou noyées dans le béton, utilise exclusivement du sertissage ou de la soudure.
Vers une plomberie moderne et accessible
Les raccords sans soudure démocratisent la plomberie domestique en éliminant les barrières techniques. Tu peux désormais installer un nouveau point d’eau, réparer une fuite ou moderniser ton réseau sans maîtriser la soudure au chalumeau. Cette accessibilité réduit drastiquement le coût des interventions mineures.
La technologie continue d’évoluer. Les nouveaux raccords push-fit intègrent des indicateurs visuels de verrouillage correct. Certains modèles proposent même des joints auto-cicatrisants qui compensent les micro-défauts de coupe. Ces innovations améliorent encore la fiabilité des installations.
Retiens que chaque type de raccord a son domaine d’excellence. Le bicône pour les petits travaux économiques, le push-fit pour la rapidité et l’accessibilité, le sertissage pour la durabilité maximale. Adapte ton choix à la nature de ton projet plutôt que de chercher une solution universelle.
Pour les installations critiques ou les gros chantiers, n’hésite pas à consulter un professionnel. Les plombiers certifiés maîtrisent toutes les techniques et garantissent leurs interventions. Leur expertise assure la conformité aux normes et la pérennité de ton installation.
Questions fréquentes
Un raccord sans soudure est-il aussi fiable qu’une soudure ?
Les raccords sans soudure modernes offrent une fiabilité excellente pour la plomberie domestique standard. Les raccords à compression et push-fit doivent répondre à des certifications strictes garantissant leur conformité aux normes sanitaires. Un raccord bicône ou à sertir correctement posé peut durer 15 à 25 ans sans fuite. En revanche, la plomberie sans soudure reste souvent moins durable que les raccords cuivre avec soudure pour les installations soumises à fortes contraintes mécaniques.
Peut-on utiliser des raccords sans soudure pour le gaz ?
Non, la majorité des raccords sans soudure sont interdits pour le gaz. Les raccords bicônes et américains ne s’utilisent pas pour les installations gaz. Seuls les raccords à sertir spécifiquement certifiés gaz (identifiables par leur pastille jaune) sont autorisés. Cette restriction s’explique par les risques majeurs liés aux fuites de gaz. Respecte impérativement cette consigne de sécurité.
Quel est le coût moyen d’une installation sans soudure ?
Le coût des raccords sans soudure reste particulièrement élevé en comparaison de raccords classiques, avec un surcoût de 20 à 50% selon les types. Un raccord push-fit coûte 8 à 15€ contre 2 à 3€ pour un manchon à souder. Pour une installation complète de salle de bain (environ 40 raccords), compte 400 à 600€ de fournitures contre 250€ en soudure. Ce surcoût se compense par l’économie sur la main d’œuvre si tu poses toi-même.
Les raccords automatiques peuvent-ils se démonter facilement ?
Oui, les raccords push-fit sont démontables et réutilisables grâce à une bague de démontage fournie. Tu enfonces cette bague sur le raccord tout en tirant le tube pour libérer les griffes internes. Cette réversibilité facilite grandement les modifications d’installation ou le remplacement d’équipements. Vérifie simplement l’état des joints toriques avant de réutiliser le raccord.
Faut-il un outillage spécifique pour poser ces raccords ?
L’outillage varie selon le type de raccord. Les push-fit ne nécessitent aucun outil particulier. Les raccords biconiques s’installent simplement avec une clé plate. Les raccords à sertir exigent une pince hydraulique spécifique coûtant 150 à 1000€, mais la location reste possible pour un usage ponctuel. Dans tous les cas, prévois un coupe-tube à molette (15 à 30€) et un ébavureur (5 à 10€) pour préparer correctement tes tubes.
Quelle est la durée de vie moyenne de ces raccords ?
La longévité dépend du type et de la qualité du raccord. Les raccords Toutub sont garantis 10 ans par le fabricant, durée représentative du marché pour les push-fit. Les raccords bicônes bien posés durent 20 à 30 ans. Les raccords à sertir résistent bien aux variations de température et de pression avec une durée de vie pouvant atteindre 40 ans. La qualité des joints reste le facteur limitant principal : privilégie les marques reconnues pour maximiser la longévité.
